Le guide financier : crédit, épargne, économie

Que diriez-vous d’utiliser un véhicule et de vous faire rembourser si vous n’êtes pas satisfait ? Oui, c’est possible avec la formule « satisfait ou remboursé ». L’automobiliste acquiert une voiture à tester. En cas d’insatisfaction, il peut se faire rembourser voire même changer de véhicule. Toutefois, il est important de prendre certaines précautions avant de vous lancer, car cette formule ne comporte pas seulement des avantages. En effet, les frais liés à la souscription d’un prêt auto ne sont pas restitués.

Vérifiez bien les conditions avant de tester une voiture

Avant d’opter pour une voiture à tester, il faut prendre en compte ces trois éléments :

• Le nombre maximum de kilomètre autorisé
• L’état du véhicule
• Lieu où rapporter le véhicule

Selon une étude réalisée par Next Content pour Quadient sur les projets numériques dans les organismes bancaires, la finance ou l’assurance, la priorité des dirigeants des banques en ligne est d’améliorer l’expérience des clients en leur offrant des services accessibles sur Internet et mobile. À savoir que 90 % des organismes de crédit proposent une application. Le but est de fidéliser le consommateur avec des produits digitaux. À l’avenir, les dirigeants envisagent de mettre en place des chatbots (robots conversationnels) pour répondre aux besoins des clients.

Les consommateurs ont la possibilité de souscrire des produits bancaires en ligne

Lorsqu’il s’agit du financement des études supérieures de leurs enfants, les parents ont recours à leur épargne. Aussi, ils optent pour le crédit consommation comme financement complémentaire. Il faut savoir que le budget doit prendre en compte les frais de scolarité, les dépenses quotidiennes ainsi que le logement. Sachez également que les charges varient en fonction des établissements choisis. Ainsi, 14 % des ménages auront probablement recours à l’emprunt, 97 % puiseront dans leurs économies et 30 % demanderont à leurs enfants de participer en effectuant un job étudiant.

Certains ménages envisagent d’emprunter pour payer les études de leurs enfants

Il est important de prévoir le financement des études supérieures bien avant la fin du cycle secondaire. Beaucoup de parents l’ont compris et n’hésitent pas à constituer une épargne à cet effet. Néanmoins, il peut arriver qu’il y ait un manque de liquidité. Certains se tournent alors vers le crédit consommation pour réaliser ce projet.

C’est ce que révèle un sondage réalisé par CSA Research. En effet, 14 % des foyers souscrivent un prêt pour financer les études supérieures de leurs enfants. Il faut savoir que la filière ainsi que le lieu d’étude ont une influence sur le budget. Un parcours en école de commerce ou d’ingénieur coûtera plus cher que celui à l’université ou en BTS (Brevet Technicien Supérieur).

Les ménages doivent prévoir le financement des études supérieures de leurs enfants

De plus, les personnes qui étudient en Île-de-France auraient des frais supérieurs à celles qui habitent en province. Ce sont donc des facteurs à considérer en établissant le budget. La plupart des parents ont conscience de cela (79 %) et prennent des dispositions au niveau des finances pour que leurs enfants puissent faire des études supérieures (55 %).

Toutefois, chez les familles modestes, l’épargne ne suffit pas. C’est la raison pour laquelle elles demandent à leurs enfants de participer financièrement en effectuant des jobs étudiants. D’autres optent pour des crédits comme le mini-emprunt à taux zéro ou encore le prêt garanti par l’État. D’ailleurs, 27 % des personnes interrogées trouvent que cette solution est la plus intéressante.