L’assurance emprunteur dans le cas d’une pratique de sport à risque
La pratique d’un sport à risque n’est pas sans incidence sur l’assurance emprunteur. En effet, cela peut avoir un effet négatif et il est même possible que le souscripteur voie son dossier refusé. Bien entendu, il existe des alternatives, mais qui risquent de faire augmenter le montant de l’assurance.
Si vous pratiquez un sport à risque, vous êtes en mesure de consulter la liste des activités qui sont considérées comme telles auprès de votre établissement. Le plus souvent, il s’agit des sports de neige, de combat, d’auto-moto, de l’équitation, du parachutisme, de l’ULM (ultra-léger motorisé), du deltaplane, du parapente, de l’escalade, de l’alpinisme et de la voltige aérienne, entre autres. Cependant, les sports occasionnels comme une initiation à la plongée ou le baptême de l’air n’ont aucune influence sur l’assurance de prêt.
La pratique d’un sport à risque a une influence sur l’assurance emprunteur
La conséquence principale de la pratique d’un sport à risque est que cela augmente le coût de l’assurance de prêt. Retenez que le but de celle-ci est de protéger les parties au contrat dans le cas d’un défaut de paiement des mensualités. La probabilité d’avoir un accident lors de la pratique d’un sport à risque est élevée, ce qui entraînerait des difficultés pour assurer le montant à payer chaque mois. Les compagnies d’assurance peuvent ainsi appliquer une surprime pour ceux qui pratiquent un sport à risque. Pour faire des économies, les souscripteurs ont la possibilité de réaliser un rachat d’exclusion ou de souscrire une garantie des accidents de la vie. Sinon, il peut contracter l’assurance emprunteur auprès d’un autre organisme.
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