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Les faibles taux pratiqués en matière de crédit immobilier ont attiré bon nombre d’emprunteurs ces derniers temps. Cela s’est notamment fait ressentir au cours du mois de janvier. En effet, les établissements spécialisés dans ce secteur d’activité ont octroyé des crédits à hauteur de 37 milliards d’euros aux Français durant cette période. Ainsi, du dernier mois de 2016 au premier mois de 2017, la distribution des crédits a atteint 4 milliards d’euros. Après avoir effectué de telles analyses, la Banque de France estime que le marché de la pierre est dynamique.

La production des crédits immobiliers

La conjoncture pourrait cependant changer au fil des prochains mois. Selon certains experts de l’immobilier, le taux moyen atteindra bientôt 1,80 %, et ce, peu importe la durée du crédit immobilier. La barre symbolique des 2% pourrait quant à elle être atteinte d’ici le mois de juillet. Ce tarif serait notamment applicable au niveau des crédits étalés sur 20 ans. À noter que cette estimation ne comprend pas les frais de l’assurance emprunteur.

D’ici là, la tendance haussière de la production des crédits immobiliers pourrait s’inverser. En effet, une bonne partie de ces opérations concernait les renégociations de crédit immobilier et la majorité des emprunteurs y ont déjà eu recours lorsque le tarif pratiqué sur le marché de la pierre était au plus bas. Certains particuliers ont même eu l’opportunité de négocier les clauses de leur contrat à deux reprises. De plus, la hausse ne permettra plus à certains ménages de réaliser une économie équivalente à 0,7 voire 1 point. Du coup, la transaction ne sera même plus profitable.

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